Les emprunts nationaux et les banques
Durant la Première Guerre mondiale, les Français sont mis à contribution par le biais d'emprunts nationaux. Le premier date de novembre 1915, le dernier (dit de la Libération) de 1918.
En réponse au non-paiement partiel des réparations fixées par le Traité de Versailles, les troupes françaises et belges occupent le Ruhr en 1923. Propagande et contre-propagande se trouvent ainsi réactivées.
Après le Krach boursier de 1929, la méfiance à l'égard des banques est inévitable. Les établissements bancaires doivent communiquer auprès des épargnants et regagner leur confiance.
La méfiance envers les banques
La méfiance à l’égard des banques dans les années trente
La Banque Nationale de Crédit (B.N.C.), institution de la place financière parisienne, est rapidement entraînée au bord de la faillite par les...
L’emprunt de la libération de 1918
Combler les déséquilibres financiers du premier conflit mondial
Durant le premier conflit mondial, la France a financé son effort de guerre par l’emprunt préférentiellement à l’impôt. Les emprunts ...
L'occupation de la Ruhr
France et Allemagne irréconciliables
Entre la France et l’Allemagne, les différends issus du traité de Versailles (28 juin 1919) restent importants. La France entend bien recouvrer les réparations ...
Les emprunts nationaux pendant la guerre de 1914-1918
Mobilisation pécuniaire de l’arrière
Durant la Première Guerre mondiale, l’épargne française est mise à contribution par le biais d’emprunts nationaux annuels (novembre 1915, octobre 1916, 1917 et ...