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Table sur laquelle fut étendu Robespierre blessé, le 9 thermidor an II(27 juillet 1794).
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Bonnets phrygiens, emblèmes ajoutés à l'époque révolutionnaire aux quatre coins de la table.
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Faisceaux de licteurs surmontés de bonnets phrygiens, emblèmes ajoutés à l'époque révolutionnaire

Titre : Table sur laquelle fut étendu Robespierre blessé, le 9 thermidor an II(27 juillet 1794).
Date de création : 1744
Date représentée : 27 juillet 1794
Dimensions : Hauteur 81 - Largeur 215
Technique et autres indications : Bureau de style Louis XV, réalisé en 1744 pour le cabinet de travail du roi au château de Choisy, revenu au garde meuble de la Couronne en 1787, puis passé en l'an II dans les locaux du Comité de salut public.Bois et métal
Lieu de Conservation : Centre historique des Archives nationales site web
Contact copyright : © Centre historique des Archives nationales - Atelier de photographie
Référence de l'image : AE/Via/1
Table sur laquelle fut étendu Robespierre blessé, le 9 thermidor an II(27 juillet 1794).

Titre : Bonnets phrygiens, emblèmes ajoutés à l'époque révolutionnaire aux quatre coins de la table.
Date de création : 1744
Date représentée : 27 juillet 1794
Dimensions : Hauteur 0 - Largeur 0
Technique et autres indications : métal
Lieu de Conservation : Centre historique des Archives nationales site web
Contact copyright : © Centre historique des Archives nationales - Atelier de photographie
Référence de l'image : AE/Via/1

Titre : Faisceaux de licteurs surmontés de bonnets phrygiens, emblèmes ajoutés à l'époque révolutionnaire
Date de création : 1744
Date représentée : 27 juillet 1794
Dimensions : Hauteur 0 - Largeur 0
Technique et autres indications : sur les côtés de la table.Métal
Lieu de Conservation : Centre historique des Archives nationales site web
Contact copyright : © Centre historique des Archives nationales - Atelier de photographie
Référence de l'image : AE/Via/1
Le 9 thermidor
http://histoire-image.org/fr/etudes/9-thermidor
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Contexte historique
Analyse des images
Interprétation
- 9 thermidor
- Convention
- exécution
- gouvernement révolutionnaire
- Hôtel de ville de Paris
- mobilier
- Robespierre (Maximilien de)
- Terreur
1. Au Comité de sûreté générale, Vadier utilise l'affaire Catherine Théot pour déstabiliser l'Incorruptible. Cette femme prophétisait la venue d'un nouveau Messie : Robespierre selon Vadier. Robespierre, qui vient d'instaurer le culte de l'Etre suprême (fête de l'Etre Suprême le 20 prairial), ne se défend pas.
2. " Des membres du comité entrent dans [le] complot, [...] la coalition ainsi formée cherche à perdre les patriotes et la patrie. Quel est le remède à ce mal ? Punir les traîtres, renouveler les bureaux du Comité de sûreté générale, épurer ce comité et le subordonner au Comité de salut public, épurer le Comité de salut public lui-même ; constituer l'unité du gouvernement sous l'autorité suprême de la Convention ; écraser ainsi toutes les factions du poids de l'autorité nationale, pour élever sur leurs ruines la puissance de la justice et de la liberté. "